Print from the 'Dance of Death' by Hans Holbein the Younger (14971543) a German and Swiss
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Holbein Le Christ Mort. The Dead Christ in the Tomb, 15211522 Hans Holbein the Younger 14971543 German Germany Stock La mort est trop empreinte sur ce corps pour que la vie y puisse jamais rentrer ; et si c'est là le Christ, Holbein ne croyait pas à la Résurrection » Saint-Marc Girardin, 1835. Le Christ mort (ou Le Corps du Christ mort dans la tombe ou encore Le Christ mort au tombeau) est une huile et tempera sur panneau de tilleul (30,5 cm × 200 cm) peinte par Hans Holbein le Jeune entre 1521 et 1522.
Prints and Principles Henry Augustin Valentin’s etching, “Le Christ Mort”, 1859, after Hans from www.printsandprinciples.com
Christ is painted full size, dead and emaciated, flat on his. La présence du Christ mort dans l'inventaire après décès de l'artiste laisse entendre qu'il s'agit d'une oeuvre très personnelle qui n'a pas résulté d'une commande.
Prints and Principles Henry Augustin Valentin’s etching, “Le Christ Mort”, 1859, after Hans
Hans Holbein le Jeune, Le christ mort, prédelle d'un retable réalisé pour la cathédrale de Fribourg (1521-1523) Kunstmuseum de Bâle « Les portraits de Holbein sont au dessus de tous, il n'y a que ceux de Raphaël qui les surpasse » Le *Christ mort dans le tombeau de Hans Holbein le Jeune (1497/98-1543) a probablement été commandé par Bonifacius Amerbach Teint verdâtre, rigidité, mâchoire crispée, yeux révulsés, le Christ gît sur une dalle couverte d'un linceul blanc dont les plis sont détaillés aussi précisément que l'anatomie du sujet.
Danza della morte L'aratore Hans Holbein Stampa d'arte. Il y a 500 ans, le Christ mort dans le tombeau a été créé par Hans Holbein le Jeune, probablement à la demande de Bonifacius Amerbach Teint verdâtre, rigidité, mâchoire crispée, yeux révulsés, le Christ gît sur une dalle couverte d'un linceul blanc dont les plis sont détaillés aussi précisément que l'anatomie du sujet.
Hans holbein death Banque de photographies et d’images à haute résolution Alamy. It was perhaps at this moment when, united in grief, one of the greatest works in the history of western art was first discussed by them In 1519 both Hans Holbein and his close friend Bonifacius Amerbach lost brothers to the plague